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Rencontres libertines  

sandratvtg 66T
0 posts
8/21/2016 1:51 am

Last Read:
9/28/2018 4:05 am

Rencontres libertines

Rencontres libertines,

Par une belle journée d'été, mon téléphone sonne.
C'est Steve, le patron d'une boîte de travestis qui m'appelle.
- Allô Sandra, j'ai quatre nouvelles amies qui t'attendent au club.
- Merci de penser à moi, j'arrive le plus vite possible, lui dis-je en raccrochant.
Je suis heureuse de appel car je fais toujours de belles rencontres chez lui.
Dans ces étreintes sans lendemain, je peux vivre mes fantasmes les plus intimes avec l'unique but de prendre et de donner du plaisir.
C'est donc avec une certaine fébrilité que je m'assois devant mon boudoir pour me maquiller et mettre mes faux cils.
Puis, je me coiffe d'une perruque blonde coupée au carré.
J'enfile ma lingerie devant la glace en éprouvant toujours le même émoi.
Quel plaisir! Ce temps consacré au seul bonheur de se faire belle en devenant femme.
Je ne peux plus me passer de ces moments de volupté que je vis plusieurs fois par semaine chez moi ou bien à l'hôtel lors de mes déplacements.

J'agrafe ma guêpière en plaçant mes généreuses prothèses en silicone dans mes balconnets.
Je glisse sur mes hanches une adorable culotte ouverte qui me rend prête à faire l'amour en toute circonstance.
Je ne me lasse pas de contempler cet ensemble de satin et de dentelle si glamour qui met en valeur mon corps entièrement épilé par des séances au laser.

Puis, je déroule mes bas cervin sur mes jambes en les accrochant à mes jarretelles que je plaque sur ma culotte fendue.

Je suis consternée par toutes ces femmes qui font l'inverse en portant leurs culottes par dessus pour ne pas avoir à les détacher aux toilettes.
Elles perdent ainsi tout le raffinement et l'élégance de leur lingerie.

Je fais quelques pas dans ma chambre en frottant mes cuisses l'une contre l'autre pour entendre le crissement de mes bas.

Sortant d'un tiroir un préservatif féminin, je retire le petit anneau qui se trouve à l'intérieur pour l'utiliser en anal.
Allongée sur mon lit, je l'enfonce dans ma grotte en plaquant l'anneau le plus large contre mon périnée.
Cette protection est magique car je peux la garder toute la journée.

Lorsqu'une pulsion irrésistible nous emporte mon ami et moi, je n'ai qu'à soulever ma jupe pour être prise dans l'instant sans risquer de le voir débander le temps que je retire ma culotte et lui mette préservatif.
Cela nous permet de faire l'amour dans les lieux publics : jardins, cabines d'essayages, cages d'escaliers...

Poursuivant mes préparatifs, je rentre ma queue entre mes cuisses en la fixant avec un adhésif.
Dans le miroir de ma chambre, je ne vois plus que mon triangle de vénus qui évoque la naissance de ma chatte.

Puis, j'accroche à ma taille une jupe à volants très courte et j'ajuste mon corsage en passant mes mains sous ma jupe pour le tendre et faire ressortir mes seins.
Pendant quelques minutes, je m'exerce devant la glace à prendre les poses et attitudes féminines.
Pressentant une journée mouvementée, j'avale un comprimé de viagra dans un verre d'eau avant de partir.

Enfin prête, je quitte mon appartement.
En descendant l'escalier, je ressens l'excitante tension de mes jarretelles sur mes cuisses.

Par une belle journée ensoleillée, je marche dans la rue le corsage ouvert sur mes seins lourds et fermes qui se balancent au rythme cadencé de mes talons aiguilles sur le trottoir.
Cela ne manque pas d'attirer l'attention sur moi et je soutiens avec aplomb le regard des hommes qui me dévisagent.
Avec rouerie, j'accentue mon déhanchement engendré par mes escarpins en faisant virevolter ma jupe qui laisse entrevoir mes jarretelles à chacun de mes pas.
Le vent chaud qui s'engouffre entre mes cuisses me fait ressentir des sensations que les femmes connaissent bien...
Je poursuis mon chemin, les reins cambrés pour attirer l'attention sur mes fesses.
Il me prend soudain l'envie d'exciter les mâles qui m'entourent.
M'arrêtant devant une boutique de mode, je relève ma jupe en faisant semblant d'ajuster mes bas.
En tendant mes jarretelles sur mes cuisses gainées de nylon, je ne peux m'empêcher de sourire en voyant le visage plein de désirs de mes admirateurs se refléter dans les vitrines.
Une femme assistant à ce spectacle me considère d'emblée comme une dangereuse rivale.
Je la regarde en lui montrant que je ne suis pas insensible à charme.
Déstabilisée et troublée, elle ne sait plus quelle attitude adopter.

J'arrive enfin chez Steve qui m'attend à la porte de club.
- Tu me fais bander dans cette tenue, s'exclame-t-il en glissant sournoisement sa main sous ma jupe.
- Sois sage, je m'occuperai de toi plus tard, lui dis-je d'un regard prometteur.
Mais mon corps trahit mes paroles en s'offrant à ses irrésistibles caresses.
- Viens, tu en as autant envie que moi, me dit-t-il en m'entraînant de force dans salon.
A peine a-t-il refermé la porte qu'il fait jaillir sexe de pantalon.
- J'ai une folle envie de te sauter, me dit-il rouge d'excitation.
- Je veux bien te faire ce plaisir si tu me laisses faire, lui dis-je en m'approchant de lui dans une attitude provocante les seins dressés et le bassin en avant.
Sans attendre, je le pousse sur le divan en me plaçant à califourchon sur ventre.
Je retrousse ma jupe pour dévoiler ma guêpière et mes bas ornés de jarretières.

Les yeux brillants de désir, il plonge sa main dans mes dessous pour m'enlever mon fémidom.
- Je ne veux pas que tu mettes de préservatif avec moi.
Très impatiente de rencontrer mes nouvelles amies, je lui accorde ce privilège.
Je commence par le masturber en caressant la zone sensible de périnée tout en lui malaxant les bourses.
Sans le quitter du regard, j'écarte la fente de ma culotte en m'empalant lentement sur sa verge.
Je contracte régulièrement mes sphincters pour lui serrer la queue et faire monter désir.
Puis, il gémit de plaisir lorsque j'entame de mes lentes et puissantes bascules du bassin d'avant en arrière qui provoquent de fortes pressions sur frein.
J'aime prendre cette position d'andromaque qui me permet d'imposer le rythme et de m'enfoncer sa queue jusqu'au ras de mes fesses.
Afin qu'elle devienne plus dure, je l'entoure avec l'un de mes bas qui fait office d'anneau pénien.
Dominant mon sujet, je poursuis mon travail de sape.
Le souffle de Steve s’accélère quand je le chevauche sur un rythme soutenu en lui caressant les bourses.
Lorsque je sens sa verge tressauter en moi, je l'achève en tournant lentement mes fesses sur bâton de chair qui me sert de pivot.
Il jouit longuement dans une succession de spasmes qui me désarçonne à moitié.
A mon tour, je gémis de plaisir en sentant ses jets de sperme fuser dans mon ventre.
Puis, je me lève en épongeant sperme qui coule le long de mes cuisses.
- Tu m'as mis la dose, lui dis-je en souriant.

La queue dressée et toujours tenaillée par le désir, j'ai une envie folle de le violer en le voyant allongé à moitié nu sur divan.
Prise par le temps, je me fais une raison en me disant que d'ici peu, je pourrai m'en occuper.
Mes bas ayant filés lors de nos jeux, je sors une nouvelle paire de mon sac à main en les accrochant à mes jarretelles sous le regard brûlant de Steve.
Je le quitte en lui demandant de m'envoyer sa première protégée dans la chambre «chevalier d’éon»

En montant l'escalier quatre à quatre, j'ai à peine le temps de m'allonger sur le lit que Christelle apparaît dans l'embrasure de la porte.
C'est une charmante blonde aux traits fins qui reste figée sur place.
Elle porte une nuisette transparente et un collant lui moule la queue dans les moindres détails.
Les frottements du nylon sur gland décalotté la fait se dresser devant mes yeux.

maquillage excessif et rouge à lèvres outrancier témoignent à l'évidence de manque d'expérience en la rendant provocante malgré elle...
Je prends conscience qu'il va me falloir jouer le rôle d'initiatrice dans cette rencontre.
- Approche, lui dis-je en me déshabillant rapidement.
Pendant qu'elle s'avance d'un pas hésitant, j'enlève mon corsage en dévoilant mes seins comprimés dans ma guêpière.
J'ai encore le temps de dégrafer ma jupe avant qu'elle n'atteigne mon lit.
Voulant me sentir vraiment femme, je garde ma queue enfouie dans ma culotte fendue.

Christelle est maintenant immobile devant moi.
C'est une jeune transsexuelle hormonée dont les seins commencent à pointer dans soutien gorge.
Abaissant collant, je la masturbe en faisant grandir sexe entre mes mains.
Lorsque quelques gouttes translucides perlent à la surface de gland, je m'allonge sur le dos en écartant les cuisses pour lui offrir mon œillet humide de désir.
Christelle reste un moment indécise en tentant de résister à ses pulsions.
- Viens maintenant ma chérie, lui dis-je d'une voix pressante en écartant la fente de ma culotte.
Aiguillonnée par mes paroles, elle se jette sur moi comme un chien fou en me laissant à peine le temps de saisir sexe pour le guider dans ma grotte.

Pendant qu'elle me baise avec fougue, une pensée surréaliste me vient à l'esprit.
Je repense aux milliers de va et vient qui m'ont labouré le ventre ces dernières décennies.
Mis bout à bout cela doit représenter des kilomètres de queues.

Les gémissements de plus en plus rapprochés de Christelle balayent cette image.
Je cambre les reins en croisant mes jambes dans dos pour m'empaler bien à fond.
Puis, je l'immobilise en serrant sa taille dans l'étau de mes cuisses.
Je lui porte le coup de grâce en lui enfonçant mon majeur dans l'anus et en contractant mes sphincters sur sa verge.
- Oh non pas si vite, a-t-elle le temps de me dire en m'inondant le ventre de toute la sève de ses vingt ans.
Terrassée par l'orgasme, elle s'effondre sur moi en m'écrasant les seins.
Nous restons un long moment enlacées et soudées l'une à l'autre.

Quelques instants plus tard, Christelle me retire ma culotte.
Elle sourit en voyant ma queue flasque serrée entre mes cuisses.
- Laisse moi faire, me dit-t-elle.
Elle me décalotte le gland en tirant sur mes testicules pour provoquer une tension sur mon frein.
Sa main caresse longuement la peau satinée de mes bourses.
J'ai une érection spectaculaire lorsqu'elle presse longuement la racine de mon sexe entre pouce et index.
Puis, ses lèvres remontent le long de ma hampe avant de se refermer sur mon gland.
Ses joues se creusent lorsqu'elle me pompe avec un savoir faire étonnant pour âge.
Comme toutes les transsexuelles, elle s'acquitte de sa tâche avec un talent bien supérieur aux femmes.

Dans le même temps, sa main remonte le long de mes jarretelles en me caressant l'intérieur des cuisses.
- J'ai envie que tu me prennes, me dit-t-elle fascinée par ma queue qui se dresse maintenant devant ses yeux.
Tout en me fixant d'un air angélique, elle lève les jambes en écartant les cuisses sans pudeur.
Ne pouvant lui résister plus longtemps, je la pénètre lentement pour qu'elle s'habitue au diamètre de ma verge.
Puis, je la masturbe sur des rythmes lents et rapides jusqu'à ce qu'elle jouisse.
Quelques minutes plus tard, je sens anus se contracter sur ma verge et sa sève fuser entre mes doigts.
Sans me quitter du regard, elle se trémousse avec une rare perversité sur ma queue jusqu'à ce que je décharge à mon tour au plus profond de ses reins.
Je sors à regret de ses fesses en m'exclamant:
- Tu as un tempérament de feu Christelle!
- J'aimerai te revoir pour te faire découvrir d'autres jeux.
Elle accepte ma proposition avec joie en venant se blottir dans mes bras.
Je la câline un moment avant de lui demander de partir.

A peine rhabillée, une superbe rousse fait irruption dans ma chambre.
Elle porte un corset rouge et noir et des cuissardes assorties qui affiche clairement ses penchants de dominatrice.
Claudia s'approche de mon lit d'un pas assuré.
Je rentre dans jeu en rabattant craintivement ma jupe sur mes cuisses.
- N'aie pas peur, me dit-t-elle d'une voix moqueuse en soulevant ma jupe et en me troussant sans scrupule.
Surprise par la taille de mon clito, elle le sort de écrin de lingerie.
- On dirait que je te fais de l'effet, s'exclame-t-elle ravie.
Profitant de emprise sur moi, elle m'entraîne sur le lit en m'allongeant sur le ventre.
Sortant sa queue massive de slip brésilien, elle vient se glisser entre mes cuisses.
D'un doigt inquisiteur, elle explore l'entrée de ma grotte en s'immobilisant sur l'anneau en latex de mon fémidom.
- Retire cela immédiatement, me dit-t-elle d'un ton sans réplique.
- Je l'ai mis pour que ses reliefs internes te donnent davantage de plaisir, lui dis-je en l'implorant du regard.
La voyant hésiter, je la masturbe pour la faire fléchir.
- Tu peux le garder, finit-t-elle par me dire.
Sans perdre de temps, elle s'allonge entre mes cuisses en appuyant gland turgescent contre mon anneau.
- Pousse dès que je commence à t'enfiler, me dit-t-elle avec une pointe d'excitation dans la voix.
Mes sphincters finissent par céder, je sens sa queue s'enfoncer d'un coup jusqu'à la garde.
Après une brève douleur, mon désir monte crescendo lorsqu'elle pilonne mon point G avec une précision diabolique.
J'ai la respiration coupée lorsqu'elle me baise à grands coups de reins.

Dans le silence de la chambre, j'entends les claquements réguliers de ventre contre ma croupe et les frottements de sexe dans mon préservatif féminin.
Quand je la sens sur le point d'exploser, je glisse ma main entre ses cuisses en tirant sur ses bourses pour qu'elle décharge bien au fond de mes reins.
Je l'entends râler de plaisir quand je fais tourner ma croupe sur sa queue pour lui pomper ses dernières forces.
Puis, elle se rhabille sans dire un mot et sort de ma chambre en me laissant dans un état d'excitation intense.

Heureusement, deux jolies brunettes lui succèdent dans l'encadrement de la porte.
Natacha et Sabrina portent la même adorable guêpière gris perle ornée de dentelle rose.
Je les regarde s'approcher de moi en étant toujours tenaillée par le désir.
Elles sont craquantes avec leurs jambes interminables et leurs cuisses fuselées.
Ne parvenant pas à détacher leurs regards de mon sexe en érection, elles me demandent de réaliser un de leur fantasme.
Les sens mis en ébullition par Claudia, j'accepte leur proposition en commençant à les masturber toutes les deux en même temps.
Natacha est la première à me montrer ses attentes.
- Viens sur le lit ma belle, je vais commencer par toi, lui dis-je d'un ton prometteur.
En lui tournant le dos, je m'empale à califourchon sur sa verge.
Puis, j'interpelle Sabrina.
- C'est le moment de vivre ton fantasme ma chérie.
Fascinée par le sexe de Natacha qui va et vient en moi, elle reste un moment immobile avant de venir entre mes cuisses.
Puis, elle me prend dans sa bouche en m'embrochant à tour.
Avec une synchronisation parfaite, elle plonge sa queue dans mon ventre quand celle de Natacha en sort.
Doublement sodomisée et pompée, je ne tarde pas à jouir en jets puissants dans la gorge de Sabrina.

Enfin calmée, je me concentre sur Natacha.
- A ton tour, lui dis-je en lui lançant un regard torride.
Ondulant de la croupe, j'entreprends un irrésistible massage fessier dont j'ai le secret.
Attentive à la montée de orgasme, je me trémousse de plus belle sur sa queue.
Le moment venu, je l’achève par de lentes et puissantes bascules du bassin.
Tremblante de la tête au pied, elle gémit de plaisir lorsqu'elle se vide en moi.

Le souffle court devant ce spectacle, Sabrina continue à s'activer dans mes fesses en voyant le sperme de amie couler le long de sa hampe.
Je lève alors mes jambes gaînées de nylon en écartant les cuisses pour qu'elle puisse s'enfoncer plus à fond dans ma chatte.
Calant ses épaules dans le creux de mes genoux, elle m'embroche jusqu'à la racine de sexe.
- J'adore te prendre de cette manière, s'exclame-t-elle!

Reprenant l'initiative, je la bascule sur moi en éperonnant sa croupe avec mes talons aiguilles.
Telle une mante religieuse qui immobilise sa proie, je serre sa taille entre mes cuisses en contractant mes sphincters pour mieux sentir les va et vient de sa queue qui m'empale.

Lorsque Sabrina est sur le point de jouir, je sors sournoisement mon gode de dessous l'oreiller en l'enfonçant dans ses fesses.
Surprise, elle se cabre pour tenter d'échapper à ce dard qui la fouille avec insistance.
- Non pas maintenant, c'est trop tôt, a-t-elle le temps de me dire avant d'exploser en moi dans une série de spasmes.

Restée seule, je m'empresse de remettre de l'ordre dans ma lingerie.
J'ajuste ma perruque en me donnant un coup de peigne sans oublier de retoucher le contour de mes lèvres.
Enfin, je sors une culotte propre de mon sac à main car mes jeunes amies ont bien amidonné celle que je porte et j'enfile rapidement ma jupe pour rattraper mon retard.
J'ai en effet rendez-vous avec Mirella qui est une amie de longue date.

En redescendant dans le hall d'entrée, je croise une jolie blonde assise dans un fauteuil.
Mon regard est attiré par le renflement qui déforme le devant de sa jupe.
Je m'arrête à sa hauteur en l'interpellant:
- J'aimerai bien voir ce que tu caches entre tes cuisses.
Nullement gênée par ma demande, elle soulève sa jupe en me montrant caché dans ses dessous un gode solidement attaché à sa taille.
Elle l'agite sous mes yeux en me fixant d'un regard plein de promesses.
Il est relativement court mais c'est surtout diamètre de neuf centimètres qui m'impressionne.
Voyant ma surprise devant un tel calibre, elle me dit en souriant:
- Je le porte ostensiblement sous ma jupe pour attirer les hommes qui aiment se faire sodomiser par une femme.
Je contemple avec envie ce sexe épais qu'elle serre entre ses cuisses.
- Grâce à diamètre peu commun, il donne des sensations fortes, m'assure-t-elle d'une voix chaude en me voyant le fixer avec intérêt.
- Viens dans mon donjon, tu ne le regretteras pas, rajoute-t-elle en glissant sournoisement une main sous ma jupe.
- C'est vraiment dommage que la place soit déjà prise! S'exclame-t-elle en sentant la présence de mon rosebud.
Étant déjà en retard, je la quitte à regret en me promettant de revenir la voir prochainement.

Chemin faisant, je me félicite de porter une culotte ouverte qui laisse vivre mon bijou anal dans ma chatte.
C'est un Niki XXL de chez Julian Snelling mesurant six centimètres de diamètre.
En le lubrifiant avec un gel silicone, je peux le garder toute la journée sans problème.
C'est très différent d'un plug qui laisse l'anus ouvert en déclenchant pour cette raison des envies fréquentes d'aller aux toilettes.
En marchant, poids me donne d'excitantes tensions dans le bas ventre pendant que sa tige en laiton vient presser mon périnée à la racine de ma queue.
A la recherche de davantage de plaisir, je m'arrête devant une vitrine en écartant les jambes.
Entraîné par poids de 600gr, je sens mon bijou anal glisser de ma grotte.
La peur de le voir tomber sur le trottoir à la vue des piétons majore mon excitation.
Au dernier moment, je contracte fortement mes fesses pour éviter qu'il ne m'échappe.
Je frissonne de plaisir lorsqu'il remonte d'un coup en se plaquant contre mon point G.
Je recommence plusieurs fois cet agréable massage sous le regard indifférent des passants.
Ce petit jeu a l'avantage de fortifier mes sphincters en me permettant de mieux serrer la queue de mon ami.

Cela me fait repenser à notre dernière soirée.
A peine arrivé chez moi, il glisse sa main sous ma jupe pour s'assurer que mon bijou anal garde bien l'entrée de ma grotte.
Il exige que je le porte quelques heures avant qu'il arrive pour que ma chatte soit déjà bien ouverte et humide de désir.
Il m'allonge sur le lit en utilisant pour commencer l'un de mes nombreux jouets que je laisse traîner sur ma commode pour pimenter nos jeux.
On y trouve pèle mêle: vibro, gode, gode ceinture, plug gonflable et vibrant, plug urétral, spéculum, anuros, vacuum, fleshlight, boules anales et quelques accessoires sado maso.

Après qu'il m'ait prise dans toutes les positions, je m'endors en gardant ma lingerie pour raviver ses pulsions fétichistes durant la nuit.
Avec perversité, je lui tourne le dos en plaquant sa queue dans la raie de mes fesses.
Un moment plus tard, comme prévu, je sens sa main caresser la lisière de mes bas et se glisser entre mes cuisses...
Heureuse de le voir tomber dans mon piège, je reste immobile pour lui faire croire que je suis endormie.
Puis, il allume la lampe de chevet en me retournant sur le ventre.
Me voyant abandonnée et sans défense, il me trousse sans scrupule en jouant avec moi comme avec une poupée.
Il plonge sa tête sous ma nuisette en explorant mon œillet avec sa langue.
Ses attouchements deviennent de plus en plus précis et je me mords les lèvres pour retenir mes gémissements.
Puis, je sens sa queue coulisser dans le sillon de mes fesses un peu avant que gland ne frappe à l'entrée de ma grotte.
Faisant toujours semblant d'être plongée en plein sommeil, je l'aide en écartant les cuisses et en creusant les reins pour qu'il me pénètre plus facilement.
Il s'enfonce alors en moi de tout poids en me basculant sur le côté pour pouvoir aller et venir sans fatigue.

Très excité de me violer pendant mon sommeil, il me prend plusieurs fois dans la nuit en m'inondant de sa sève.
Au petit matin, lorsque je passe devant la glace, je ne peux m'empêcher de sourire en voyant ma nuisette satinée imprégnée de grandes auréoles blanchâtres à l'endroit de mes fesses.

Perdue dans mes sulfureuses pensées, j'arrive enfin chez Mirella.
C'est une cubaine qui habite Paris depuis cinq ans.
Elle m'ouvre la porte habillée d'un superbe déshabillé ivoire qui met sa peau bronzée en valeur.
Ses traits fins et corps de liane ne laisse planer aucun doute sur sa féminité.
Seule, sa lingerie transparente trahit la présence de sa queue d'ébène.
Elle est massive et épaisse comme je les aime.
- Tu es en retard, me dit-t-elle sur un ton comminatoire.
Je l'embrasse longuement en caressant ses seins splendides pour me faire pardonner.
Elle esquisse un sourire et me fait asseoir dans divan en m'offrant une tasse de thé.
Au cours de notre conversation, je croise et décroise lentement mes jambes pour lui laisser entrevoir mes jarretelles.
Quelques instants plus tard, je saisis sa main en la glissant sous ma jupe pour qu'elle explore ma culotte en satin qui moule ma queue dans ses moindres détails.

Lorsque Mirella écarte la fente de ma lingerie, je serre bras entre mes cuisses pour stopper sa progression et faire monter désir.
Excitée par mon attitude, elle me caresse avec sa main restée libre.
Poursuivant exploration, elle aperçoit le bijou anal qui garde l'entrée de ma grotte.
Ses yeux sont attirés par le saphir en cristal incrusté dans socle qui brille de tous ses feux.
- Il est splendide, me dit-t-elle admirative.
- Il est aussi très efficace, rajoute-t-elle en passant doigt sur mon gland humide.
Soudain, attention est attiré par des tâches blanchâtres qui maculent le haut de mes bas.
- Mais, c'est du sperme, me dit-t-elle d'un air outré.
- Viens que je t'examine, rajoute-t-elle d'une voix autoritaire en m'enlevant mon corsage et ma jupe.
Ses mains s'attardent avec sensualité sur mes seins avant d'explorer l'intérieur de mes cuisses.
Elle contemple un instant mon triangle de vénus, ma chatte et ma queue épilée.
- Tu es craquante ma chérie, me dit-t-elle avec un rire de gorge qui me laisse présager quelques surprises.
Elle m'allonge sur sa table d'examen en bloquant mes pieds dans les étriers.
Puis, se plaçant entre mes jambes, elle joue avec mon rosebud en le tiraillant avec ses dents.
Peu après, elle le retire ainsi que mon fémidom.
- Combien de queues as tu prises dans les fesses aujourd'hui? me dit-t-elle en l'agitant d'un air outré devant mes yeux.
- Il contient au moins 10 cl de sperme, rajoute-t-elle scandalisée.
Je souris intérieurement en pensant que certaines fois, je rentre chez moi avec ma protection totalement pleine.
- Puisque tu es si bien disposée, je vais en profiter, me dit-t-elle en me lançant un regard ambigu.
Elle me plonge spéculum XO dans la chatte en le laissant en place de longues minutes pour me dilater l'anus.

Peu après, ayant enfilé des gants en latex, elle glisse ses doigts un à un dans mes fesses.
Elle les fait coulisser lentement dans mon fourreau tout en me masturbant.
Puis, forçant mon passage, elle plonge sa main dans mon ventre en m'arrachant un cri de douleur.
- Te voilà prête pour la suite ma chérie, me dit-t-elle en m'entraînant dans la pièce voisine.

Je découvre alors un étrange objet équipé d'une selle qui me fait penser à un cheval d'arçon.
- Enfourche le, me dit-t-elle avec autorité.
A l'aide de vérins, elle règle minutieusement la hauteur de la selle pour que mes jambes restent bien tendues tout en bloquant mes pieds au sol dans des attaches spéciales.
Puis, elle me bâillonne avec l'un de ses bas en me liant les mains dans le dos.
Je suis totalement en pouvoir quand elle déclenche l'ouverture d'une trappe sous moi à l'aide de sa télé commande.
- Il y a un cône en métal de trente centimètres pointé sous tes fesses, me dit-t-elle en écartant la fente de ma culotte pour l'appuyer contre mon œillet.
- Il ne va pas tarder à t'empaler ma belle.
Quand elle active clavier, je sens le pieu s'enfoncer imperceptiblement mais inexorablement dans ma grotte.
Mon anneau se contracte au contact froid de l'inox.
- Détends toi ma chérie, me dit Mirella en me masturbant d'une main experte.
Ses caresses lèvent mes dernières craintes.
Au début, j'éprouve plutôt des sensations agréables.
Le fait d'être complètement soumise à cette machine sans pouvoir l'arrêter m'excite les sens.
Les pieds cloués au sol, je ne peux échapper à la poussée du pieu qui devient de plus en plus forte.
Un quart d'heure plus tard, je ressens un plaisir mêlé de douleur.
Vient le moment où j'ai vraiment l'impression d'être ouverte en deux.
Puis, j'ai la respiration coupée quand cette énorme masse s'enfonce toujours plus loin en me dilatant implacablement les chairs.
J'éprouve alors des sensations à la limite du supportable.
Voulant abréger cette pénétration devenue éprouvante, je pousse pour m'ouvrir l'anus et m'empaler plus rapidement.
Malgré mon regard suppliant, Mirella laisse le cylindre poursuivre sa lente progression dans mes entrailles.
Quelques minutes plus tard, je suis empalée jusqu'à la garde en ayant la queue dressée prête à exploser.
- J'ai orienté le pal pour qu'il stimule ton point G, m'explique-t-elle.
- C'est pour cela que tu bandes si fort, rajoute-t-elle en riant.
- Ton anneau est maintenant bien ouvert, me dit-t-elle d'une voix suave.
Puis, tout en me masturbant, elle fait vibrer le cône en inox dans mes reins.
Je craque lorsqu'elle fait glisser ongle le long de mon frein.
- Tu jouis du cul, s'exclame-t-elle en voyant quelques gouttes incolores perler à la surface de mon gland.
Elle le prend en bouche pour recueillir la coulée de sperme qui sort lentement et en continue de ma verge.
Complètement sonnée par cet orgasme anal, je regarde le mince filet de sève qui coule sans fin de ma queue et qu'elle recueille sur sa langue.
Peu après, elle me détache en m'habillant d'une ravissante nuisette en satin rouge.
- Va m'attendre dans ma chambre pendant que je me prépare.

Elle me rejoint revêtue d'un corset qui moule ses formes à la perfection.
Sur ventre est plaqué un énorme gode ceinture creux dans lequel elle a glissé sexe.
- Comme tu as l'habitude des gros calibres, j'ai mis cette prothèse pénienne pour ne pas risquer de te décevoir.
Elle m'embrasse à pleine bouche en pressant ses seins splendides contre moi.
L'instant d'après, elle m'allonge sur le dos en s'agenouillant entre mes jambes.
- Remonte ta nuisette, ma chérie.
Elle contemple un instant ma chatte restée largement ouverte par les pénétrations précédentes.
Puis, elle enfonce d'emblée trois doigts dans ma grotte en les recourbant vers le haut pour stimuler ma glande d'amour.
Poursuivant fist, Mirella sourit en sentant mes sphincters se contracter sur poignet.
Contrôlant mal mon émotion, ma queue jaillit d'un coup par la fente de ma culotte ouverte.
- Tu aimes ça, n'est ce pas ma chérie, s'exclame-t-elle en retirant sa main de mon fourreau pour caresser ma verge.
- Viens, je suis impatiente de te baiser, rajoute-t-elle en m'écartant les cuisses et en appuyant gode contre mon œillet.
Pointant le mandrin à l'entrée de ma grotte, elle l'engage par petites pressions successives.
Sans me quitter du regard, elle s'agrippe à mes hanches pour l'enfoncer jusqu'à la garde.
Puis, elle glisse sur ma queue l'un de ses luxueux bas cervin aux mailles brillantes.
Tout en s'activant dans mes reins, elle me masturbe avec fabuleux manchon.
Les frottements répétés des mailles satinées sur mon gland me provoquent une forte érection.
- J'aime sentir ta queue se raidir dans ma main quand je te baise, me dit Mirella en souriant.
Je ne suis plus qu'une machine à jouir dont elle use et abuse.
Quelques instants plus tard, je vois ma sève se répandre en coulées blanchâtres sur ma nuisette.
Mirella prolonge mon orgasme en pilonnant mon point G.

Peu après, elle se retire de mes reins en m'interpellant:
- A ton tour de me donner du plaisir!
Décidée à la surprendre, je l'allonge sur le dos en enfilant un mini bas en latex sur mon pied.
Puis, je le plonge dans œillet brûlant de désir.
Grâce à mes lentes rotations, je le fais rentrer peu à peu jusqu'au talon.
Très excitée, Mirella saisit mon pied entre ses mains en le faisant coulisser en elle.
Lorsque je la vois trembler de désir, je me retire de ses fesses pour m’asseoir à califourchon sur sa queue dressée.
Sa respiration s’accélère quand je m'empale dessus de tout mon poids.
Sans la quitter des yeux, je décuple plaisir en enfonçant une à une des boules anales dans ses fesses.
Quand elle explose en moi, je tire sur le fil en sortant d'un coup les boules de sa grotte.
Elle pousse alors un grand cri suivi de nombreux spasmes avant de s'immobiliser.
Lorsque je vois sa queue ruisselante de sperme sortir de mes reins, je ne peux m'empêcher d'envier les femmes qui pompent par tous leurs orifices des dizaines de litres de sève à leurs amants durant leurs vies.
Épuisées et comblées nous ne tardons pas à nous endormir dans les bras l'une de l'autre.
Merci de me laisser vos commentaires à sandratvtg






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